10 janvier 2006

Enserré

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6 commentaires:

Jean a dit…

Je suis vraiment étonné !!!Quelle qualité tous les jours , c'est incroyable !
La composition d'aujourd'hui , est superbe !
Elle touche non seulement sur le plan esthétique mais m'émeut sur le plan affectif , sentimental : ballet de deux corps solidaires , père et enfant, amant et son adorée ....

Territoires Poétiques a dit…

les plantes qui s'accrochent, s'enroulent, tirent à elles et dévorent, sont une vraie saleté, incapables de vivre sans s'accrocher, elles dévorent ceux de qui elles s'emparent
j'ai le souvenir d'une magnifique glycine qui s'était ainsi accrochée à une rambarde en fer jusqu'à la faire plier, cette force redoutable cachée sous une beauté apparente m'effraie
et bien évidemment l'image de l'enfant et son père et de l'amant et l'amante (religieuse) m'effraie tout autant, car des deux, un meurt obligatoirement, celui sur lequel l'autre a pris support

Anonyme a dit…

Beau mais Torturé ?

Anonyme a dit…

J'essaie de deviner la plante ... il me semble que je me bats contre elle qui s'acharne à grandir cachée dans mes haies ... mais pensons que c'est de la vigne ... un pied de vigne qui a trop grandit ... le raisin, la fête, le vin, l'ivresse... et puis le reveil !

Christinedb a dit…

on en revient toujours au ressenti que l'on peut avoir face à une image ou à un tableau selon son vécu et ses émotions.
J'aurai pu l'appeler "possessif(ve)" , il s'agit effectiivement d'un cep de vigne agrippé à une branche secondaire...

eric l houck jr a dit…

stunning. all of it.